Retrouvez dans ce texte 100 titres de chansons interprêtées par Claude François, Johnny Halliday, Eddy
Mitchell, Jo Dassin, Michel
Berger, Jean-Jacques Goldman, Michel Delpech, Francis Cabrel et Renaud.
 

100 chansons
 

Elles sont toutes belles, belles, belles,
Chantées par Cloclo ou Cabrel,
Cette année-là, comme toi,
Je chantais Alexandrie, Alexandra,
Et quand la musique est bonne
Tagada voilà les Dalton.
Un jour il faudra leur dire
Que je l’aime à mourir.
Je me souviens qu’à cette époque
Ma gonzesse était en cloque.
Elle a fait un bébé toute seule
Et moi je marche seul.
Nous sommes les divorcés
Nous étions partis pour rester.
Maintenant le téléphone pleure
Dans la cabane du pêcheur.
Oh ma jolie Sarah
Je suis morgane de toi.
Ne l’appelez pas, elle dort
Attendez encore et encore.
Je suis son gardien de nuit
Et quand elle dort, elle m’oublie.
Il n’y a plus de mistral gagnant,
Je vais aller dans le paradis blanc.
Guidé par ma bonne étoile
Je mettrais bientôt les voiles,
Dès que le vent soufflera
Je repartirai là-bas.
Je veux chanter pour ceux
Qui sont loin de chez eux.
Je pars dans le Loir et Cher
Loin des murs de poussière,
Là où j’étais un chasseur
Avant d’être un chanteur.
Et là j’oublierai ton nom
Que tournent les violons !
Et comme le dit Johnny
J’ai l’envie d’avoir envie.
J’irai dormir avec Belinda
Chez la dame de Haute-Savoie
Et avant que la nuit s’achève
J’irai au bout de mes rêves
Suivant les traces de Berger
Quand tu me fais planer,
Tel le chanteur malheureux
Je vais allumer le feu,
Pendant que Renaud s’écroule
En chantant Manhattan-Kaboul.
Si tu t’appelles mélancolie
Ne m’oublie pas, petite Marie
Car pour un flirt avec toi
Je ferais n’importe quoi.
Pas besoin de déclaration
C’est écrit, laisse béton.
Demain c’est mon dernier bal,
Je ne suis plus qu’un animal.
Comme un corbeau blanc
Au cimetière des éléphants,
Mais loin du pénitencier
Au-delà du Rio Grande.
Tels les princes des villes
De Nashville ou Belleville,
Je suis revenu au grand jour
Chanter quelques mots d’amour
Et montrer que j’existe
A la groupie du pianiste.
Il était une fois nous deux,
Je l’ai vu à l’encre de tes yeux,
Tes yeux qui sont si beaux
Couleur menthe à l’eau.
Et si tu n’existais pas,
Que deviendrais-je sans toi ?
Ça balance pas mal à Paris,
Et que Marianne était jolie !
Je remonte les Champs Elysées
Comme un chanteur abandonné
Avec un pain au chocolat,
En fredonnant envole moi.
Je vais préparer le café noir
Car je ne rentre pas ce soir.
C’était la dernière séance
Gabrielle, c’est ta chance,
Tel Diego libre dans sa tête
Qui a vu Delpech chez Laurette.
Il y a toujours un coin qui me rappelle
Daniela, la fille du motel,
Qui même hors saison
Vit sa vie par procuration.
En Amérique c’est l’été indien
Qui est si cher à Jo Dassin
Dans ce monde égoïste
Il faut que je résiste
Pour soulager ma peine
Avant qu’octobre nous prenne.
Alors je vais à Rio
Rejoindre l’équipe à Jojo
Passer le lundi au soleil
Avec mon pote Michel
Puis je reviens comme d’habitude
Avec la rock and roll attitude
Et quelque chose de Tennessee
Chanté par monsieur Eddy,
C’est bien fini la corrida,
Celui qui chante attendra,
Mais il suffira d’un signe
Pour aller siffler sur la colline.
Je te donne ma sarbacane
Que j’ai piquée à Goldman,
Puis après je te promets
Je t’aimais, je t’aime, je t’aimerai,
Mais que je t’aime, que je t’aime !
C'est toute la musique que j'aime.

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